mardi 30 septembre 2008
lundi 29 septembre 2008
News: La pub allemande est pessimiste
La pub allemande est pessimiste Les perspectives présentées vendredi dernier à l’occasion de la publication du baromètre (Herbstmonitor 2008) de la Confédération allemande des agences publicitaires et de communication (GWA) ne sont pas roses. Au lieu des 5,5 % de croissance attendus pour 2008, le GWA prévoit que la croissance annuelle de la branche sera finalement comprise entre 2 et 3 %. L’évaluation se base sur un sondage réalisé auprès de 80 % des acteurs du marché. Pour 2009, le ralentissement des investissements publicitaires devrait permettre, au mieux, une croissance d’environ 1 %. Les quatre raisons avancées pour expliquer cette tendance sont : le ralentissement économique, la crise financière, la frilosité des consommateurs et enfin la difficulté croissante des publicitaires face à la diversité grandissante des médias, des supports et des groupes cibles. Enfin, 8 patrons d’agences sur 10 se plaignent de la baisse constante de leur rentabilité.
CBNEWS
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News: Air France renonce à faire de la publicité à la télévision
La marque maintient sa promesse publicitaire historique, mais la nourrit désormais de preuves concrètes, en presse et en affichage.
Disparus ces films extraordinairement léchés et ces bandes son planantes qui ont fait le tour du monde. Air France subit de plein fouet la hausse du cours du pétrole et coupe dans ses budgets de communication. La compagnie aérienne renonce à ses grandes campagnes d'image et cesse d'investir en télévision, pour se recentrer à compter du 1er octobre sur la presse et l'affichage. L'agence BETC Euro RSCG (Havas), en charge du budget depuis bientôt dix ans, a néanmoins conçu une série de spots en formats ourts. Ils sont destinés au seul usage du Web ou à la signalisation des actions de sponsoring télé d'Air France. Un tournant historique.
Par ailleurs, face à une concurrence qui se durcit entre les grandes compagnies, Air France revient à un discours de preuve. La marque maintient son célèbre mot d'ordre «Faire du ciel le plus bel endroit de la Terre», mais entend le nourrir plus concrètement des services et produits proposés à la clientèle.
Pas question, pour autant, de renoncer à cette promesse publicitaire initiée en 1999. «Elle a ancré Air France sur le territoire du bien-être et du ressourcement pendant le vol, un discours qui demeure unique dans la catégorie», précise Valérie Albou, directrice associée de l'agence BETC Euro RSCG. En outre, la promesse Air France traduit une ambition résolument haut de gamme et, en cela, a permis à la compagnie de se positionner très tôt vis à vis du «low cost».
Le recentrage sur la presse magazine permet également à la marque de travailler sur des cibles plus haut de gamme et notamment les voyageurs d'affaires, gros consommateurs de trajets aériens. «La communication Air France s'apparente à celle d'une marque de luxe», note Valérie Albou qui souligne l'exécution particulièrement moderne et épurée des visuels.
Enfin, la marque renoue avec l'un de ses codes graphiques originels, la trace de l'avion dans le ciel qui sert de «fil rouge» entre les annonces publicitaires et s'apparente presque à une signature visuelle.
Source: LE FIGARO.FR
Disparus ces films extraordinairement léchés et ces bandes son planantes qui ont fait le tour du monde. Air France subit de plein fouet la hausse du cours du pétrole et coupe dans ses budgets de communication. La compagnie aérienne renonce à ses grandes campagnes d'image et cesse d'investir en télévision, pour se recentrer à compter du 1er octobre sur la presse et l'affichage. L'agence BETC Euro RSCG (Havas), en charge du budget depuis bientôt dix ans, a néanmoins conçu une série de spots en formats ourts. Ils sont destinés au seul usage du Web ou à la signalisation des actions de sponsoring télé d'Air France. Un tournant historique.
Par ailleurs, face à une concurrence qui se durcit entre les grandes compagnies, Air France revient à un discours de preuve. La marque maintient son célèbre mot d'ordre «Faire du ciel le plus bel endroit de la Terre», mais entend le nourrir plus concrètement des services et produits proposés à la clientèle.
Pas question, pour autant, de renoncer à cette promesse publicitaire initiée en 1999. «Elle a ancré Air France sur le territoire du bien-être et du ressourcement pendant le vol, un discours qui demeure unique dans la catégorie», précise Valérie Albou, directrice associée de l'agence BETC Euro RSCG. En outre, la promesse Air France traduit une ambition résolument haut de gamme et, en cela, a permis à la compagnie de se positionner très tôt vis à vis du «low cost».
Le recentrage sur la presse magazine permet également à la marque de travailler sur des cibles plus haut de gamme et notamment les voyageurs d'affaires, gros consommateurs de trajets aériens. «La communication Air France s'apparente à celle d'une marque de luxe», note Valérie Albou qui souligne l'exécution particulièrement moderne et épurée des visuels.
Enfin, la marque renoue avec l'un de ses codes graphiques originels, la trace de l'avion dans le ciel qui sert de «fil rouge» entre les annonces publicitaires et s'apparente presque à une signature visuelle.
Source: LE FIGARO.FR
Nintendo contre le cancer du sein
On peut dire que la Nintendo DS aura fait l’objet d’une immense palette de déclinaisons que ce soit au niveau de la couleur de la console ou des motifs qu’elle aura pu arborer au fil des années.
Aujourd’hui, Nintendo lance une nouvelle version collector de sa petite portable, défendant un sujet qui n’est pas des moins sérieux, la lutte contre le cancer du sein.
Cette Nintendo DS édition limitée sera disponible aux Etats-Unis au prix de 129.99 dollars, dont cinq petits dollars de cette somme seront reversés à la Susan G. Komen for the Cure, un organisme de recherche pour lutter contre le cancer du sein.
Source: DIGITALGAMES
News: Le Stade de France cherche son agence
Le Stade de France qui entend se poser en "lieu incontournable du divertissement" (événements sportifs, concerts, opéras, expositions, produits dérivés…) lance une compétition d’agences. A charge pour la lauréate de l’accompagner dans sa nouvelle stratégie marketing et commerciale. Profil recherché : une agence globale en mesure d’assurer le conseil, la création publicitaire, le web, les relations presse et la réflexion sur les supports medias de l’annonceur. Ce dernier collaborait jusqu’à présent avec trois principales agences : Terre de Sienne (nouveau logo), Hémisphère Gauche (campagne 10 ans) et Le Public Système (RP/Evénementiel). La nouvelle collaboration devra prendre effet dès la fin 2008.
vendredi 26 septembre 2008
News: Erik Vervroegen sur le départ
Plusieurs fois donné partant depuis son arrivée en 2001 à la direction de la création de TBWA Paris, Erik Vervroegen serait cette fois bel et bien sur le départ. Une information que se refusait à confirmer l’agence hier. Selon nos informations, la négociation entre le créatif et son employeur ne serait pas encore close. Avant de rejoindre Paris, Erik Vervroegen, 43 ans, avait fait l'essentiel de son parcours à l'international, en l'occurence au sein de Bozell New York mais s'était particulièrement illustré chez TBWA Hunt Lascaris à Johannesburg. Nommé à la co-présidence de TBWA Paris en 2003, il a hissé l'agence de Boulogne-Billancourt à la tête des palmarès créatifs mondiaux.
Source: CBNEWS
jeudi 25 septembre 2008
News: Les résultats de Sony déçoivent
A l'issue des mois d'avril à juin, Sony a dégagé un résultat net positif de 34,98 milliards de yens (209 millions d'euros), contre 66,46 milliards de yens au terme des trois premiers mois de l'exercice antérieur. Le groupe d'électronique en a profité pour revoir à la baisse ses prévisions de profit net annuel, à 240 milliards de yens contre 290 milliards espérés initialement. Pour le directeur financier de Sony, Nobuyuki Oneda, «la réalité est inférieure à nos prévisions».
Cette chute s'explique en premier lieu par un plongeon de 39,5% du profit trimestriel d'exploitation à 73,4 milliards de yens, malgré une amélioration des résultats des activités TV et jeux vidéo. L'électronique, activité principale du groupe, affiche des résultats en hausse, mais les marges sont réduites du fait d'une concurrence particulièrement rude au niveau des prix, essentiellement sur les appareils photos numériques, les caméscopes ou encore les PC.
L'activité jeu vidéo se porte très bien. Le décollage des ventes de la Playstation 3, la popularité grandissante du modèle de poche PSP et la hausse des ventes de jeux ont permis à ce secteur d'enregistrer une hausse du chiffre d'affaires de 16,8%. La console Playstation 3, qui a été écoulée à 1,56 million d'exemplaires au premier trimestre 2008-2009 et à 14,4 millions depuis son lancement fin 2006, est toujours vendue à perte.
Cette chute s'explique en premier lieu par un plongeon de 39,5% du profit trimestriel d'exploitation à 73,4 milliards de yens, malgré une amélioration des résultats des activités TV et jeux vidéo. L'électronique, activité principale du groupe, affiche des résultats en hausse, mais les marges sont réduites du fait d'une concurrence particulièrement rude au niveau des prix, essentiellement sur les appareils photos numériques, les caméscopes ou encore les PC.
L'activité jeu vidéo se porte très bien. Le décollage des ventes de la Playstation 3, la popularité grandissante du modèle de poche PSP et la hausse des ventes de jeux ont permis à ce secteur d'enregistrer une hausse du chiffre d'affaires de 16,8%. La console Playstation 3, qui a été écoulée à 1,56 million d'exemplaires au premier trimestre 2008-2009 et à 14,4 millions depuis son lancement fin 2006, est toujours vendue à perte.
News: L'agence Business lance BSR
L'agence de publicité Business, présidée par Éric Bousquet, crée une nouvelle enseigne. Baptisée Business Solutions Réseaux (BSR), elle s'adresse en priorité aux réseaux en franchise ou coopératifs qui souhaitent externaliser leurs actions de communication opérationnelles. La nouvelle venue, détenue aux deux tiers par Business, se propose de réaliser un audit des processus de communication mis en place par le franchiseur : développement, animation, formation, marketing, Internet… Puis, en fonction des besoins, BSR peut «prendre en charge ce qui doit être amélioré tout en veillant à respecter l'identité, le savoir-faire et la culture de l'entreprise», précise son fondateur. Ses propositions vont de la gestion des façades d'une enseigne, de la création de supports de développement du réseau (plaquettes, publicité en presse, Web, salons), d'outils pour les points de vente (charte graphique, affichage urbain…), à la déclinaison de campagnes à la télévision. BSR est dirigée par Alexandre Jacquelin-Cluzeau, associé au capital, et ex-directeur du marketing du groupe Guy Hoquet L'Immobilier, l'un des clients de l'agence Business. Cette dernière, qui a réalisé une marge brute de 40 millions d'euros en 2007, travaille déjà pour des réseaux comme Optic 2000, Carglass, Castorama ou encore la Maison de la Literie.
Source: LE FIGARO.FR
Source: LE FIGARO.FR
mercredi 24 septembre 2008
Les marques innovantes sont plébiscitées
L'irruption de BlackBerry, la percée de Google et d'Apple bousculent le classement des 100 premières marques établi par Interbrand.
Google a rebattu les cartes d'Internet. L'Américain pourrait maintenant bousculer l'ordre établi des cent premières marques mondiales. La firme de Mountain View vient de percer le top 10 du classement dressé chaque année par Interbrand, le réseau de conseil en stratégie et création de marque du groupe Omnicom. Se basant sur ses résultats financiers et sa capacité à générer des revenus futurs, Interbrand détermine la valeur financière des marques. Or, en raison de leur capacité à innover, et donc rassurer sur le futur, les marques issues de l'informatique, de l'Internet et des technologies affichent les plus fortes progressions.
Estimée à 25,6 milliards de dollars, la valeur de Google a augmenté de 43 %. Le groupe Internet a ravi la dixième place du classement au constructeur automobile allemand Mercedes. Avec IBM, Microsoft, Nokia et Intel, ce sont désormais la moitié des dix premières marques mondiales qui appartiennent à l'univers high-tech. «La valeur de Google est passée de 8,5 milliards à 25 milliards de dollars en quatre ans pour deux raisons : son large portefeuille de produits fiables et son modèle économique publicitaire, qui a fait ses preuves» , explique Jean-Baptiste Danet, PDG d'Interbrand Europe. Autre atout, «la marque peut porter des diversifications».
La valeur de Steve Jobs
Les diversifications innovantes ont fait le succès d'Apple, deuxième meilleure progression du classement général. En hausse de 24 %, la pomme croquée vaut aujourd'hui 13,7 milliards de dollars. «La marque était moribonde jusqu'au lancement du iMac, il y a quelques années. Apple s'est ensuite approprié le «i» et la notion d'interconnectivité, et a lancé l'iPod et l'iPhone» , observe Jean-Baptiste Danet. Le charisme de Steve Jobs n'est pas étranger à la réussite de la marque Apple. Au point, peut-être, de la mettre en danger si elle devait changer de patron. «Apple est une marque aspirationnelle, il y a beaucoup d'attente quand ses produits sortent. La question est : si Steve Jobs n'est plus là, est-ce que Apple devient une entreprise d'ingénieurs ? », observe Jean-Baptiste Danet.
Enfin, c'est le caractère pionnier de sa technologie mobile qui a permis à BlackBerry d'entrer directement à la 73e place du classement général. Ces changements représentent une vraie concurrence pour les autres marques. Plusieurs d'entre elles sont sorties du classement alors que leur valeur n'a pas baissé, boutées hors du classement par ces surprenants nouveaux entrants. Selon Jean-Baptiste Danet, «l'innovation est devenue une valeur transversale dans le classement». Et une condition pour rester dans le top 100.
LEFIGARO.FR
Google a rebattu les cartes d'Internet. L'Américain pourrait maintenant bousculer l'ordre établi des cent premières marques mondiales. La firme de Mountain View vient de percer le top 10 du classement dressé chaque année par Interbrand, le réseau de conseil en stratégie et création de marque du groupe Omnicom. Se basant sur ses résultats financiers et sa capacité à générer des revenus futurs, Interbrand détermine la valeur financière des marques. Or, en raison de leur capacité à innover, et donc rassurer sur le futur, les marques issues de l'informatique, de l'Internet et des technologies affichent les plus fortes progressions.
Estimée à 25,6 milliards de dollars, la valeur de Google a augmenté de 43 %. Le groupe Internet a ravi la dixième place du classement au constructeur automobile allemand Mercedes. Avec IBM, Microsoft, Nokia et Intel, ce sont désormais la moitié des dix premières marques mondiales qui appartiennent à l'univers high-tech. «La valeur de Google est passée de 8,5 milliards à 25 milliards de dollars en quatre ans pour deux raisons : son large portefeuille de produits fiables et son modèle économique publicitaire, qui a fait ses preuves» , explique Jean-Baptiste Danet, PDG d'Interbrand Europe. Autre atout, «la marque peut porter des diversifications».
La valeur de Steve Jobs
Les diversifications innovantes ont fait le succès d'Apple, deuxième meilleure progression du classement général. En hausse de 24 %, la pomme croquée vaut aujourd'hui 13,7 milliards de dollars. «La marque était moribonde jusqu'au lancement du iMac, il y a quelques années. Apple s'est ensuite approprié le «i» et la notion d'interconnectivité, et a lancé l'iPod et l'iPhone» , observe Jean-Baptiste Danet. Le charisme de Steve Jobs n'est pas étranger à la réussite de la marque Apple. Au point, peut-être, de la mettre en danger si elle devait changer de patron. «Apple est une marque aspirationnelle, il y a beaucoup d'attente quand ses produits sortent. La question est : si Steve Jobs n'est plus là, est-ce que Apple devient une entreprise d'ingénieurs ? », observe Jean-Baptiste Danet.
Enfin, c'est le caractère pionnier de sa technologie mobile qui a permis à BlackBerry d'entrer directement à la 73e place du classement général. Ces changements représentent une vraie concurrence pour les autres marques. Plusieurs d'entre elles sont sorties du classement alors que leur valeur n'a pas baissé, boutées hors du classement par ces surprenants nouveaux entrants. Selon Jean-Baptiste Danet, «l'innovation est devenue une valeur transversale dans le classement». Et une condition pour rester dans le top 100.
LEFIGARO.FR
alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5249542141289062994" />Advertising Agency: Carmichael Lynch, Minneapolis, US
Creative Director: Jim Nelson
Art Director: Brad Harrison
Copywriter: Ellie Anderson
Photographer: Firstbase Imaging / Getty
Art Buyer: Jenny Barnes
Sony PSP: Hands
Advertising Agency: TBWA/Madrid, Spain
Art Director: Ely Sánchez
Copywriter: Vicente Rodríguez
Photographer: Gonzalo Puertas
Published: June 2008
News: Décès de Daniel Adam, ancien président d'Idémédia et de McCann
Centralien, il était un spécialiste des études et de la recherche médias.
Le marché publicitaire français vient de perdre l'une de ses grandes figures des années quatre-vingt. Daniel Adam est décédé subitement hier. Centralien, cofondateur de la Sofres, Daniel Adam avait notamment présidé l'agence de publicité McCann Erickson, le groupe d'achat d'espace Idémédia, le centre de recherche médias Credome ainsi que le CESP (Centre d'étude des supports de publicité), l'organisme chargé de l'audit des études d'audience des médias en France. En 2003, Daniel Adam avait cédé son «Baromètre Top-Techniques d'opinion publique» sur l'image et la notoriété des agences de publicité au cabinet Limelight Consulting.
Source: LE FIGARO
Le marché publicitaire français vient de perdre l'une de ses grandes figures des années quatre-vingt. Daniel Adam est décédé subitement hier. Centralien, cofondateur de la Sofres, Daniel Adam avait notamment présidé l'agence de publicité McCann Erickson, le groupe d'achat d'espace Idémédia, le centre de recherche médias Credome ainsi que le CESP (Centre d'étude des supports de publicité), l'organisme chargé de l'audit des études d'audience des médias en France. En 2003, Daniel Adam avait cédé son «Baromètre Top-Techniques d'opinion publique» sur l'image et la notoriété des agences de publicité au cabinet Limelight Consulting.
Source: LE FIGARO
News: Plusieurs arrivées chez Duke
Geneviève Rauner (ex. DDB et CRM Company) devient directrice associée au sein de Duke, prenant en charge la stratégie de SNCF.com et de BNP Paribas. Frédérique Carre (ex. DrafFCB) est nommée "Concept Manager" sur les budgets McDonald’s et PlayStation. Enfin, Tanguy Hugoo (ex. Ogilvy Interactive) intègre l’agence comme directeur conseil, en charge des budgets de Nissan France/Hollande et Nike ACG.
CB NEWS
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News: Wieden et Starbucks, c’est fini
L’agence Wieden & Kennedy et la marque Starbucks viennent de mettre un terme à leur collaboration, démarrée en 2004, selon la version on line d’AdAge. "Parfois, se séparer d’un client est juste une question de bon sens. Dans le cas présent, il semble que ce soit la meilleure décision pour chacune des parties", a déclaré Dan Wieden dans un communiqué.
Source; CBNEWS
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